Description
PROGRAMME DE FORMATION À DISTANCE
PRÉREQUIS NÉCESSAIRE OU BAC + 2 OU TITRE ÉQUIVALENT OU 3 ANS D’EXPÉRIENCE DANS UN MÉTIER DU BÂTIMENT OU TOUTE PREUVE DE LA DETENTION DE CONNAISSANCES EQUIVALENTES EN LIEN AVEC LES TECHNIQUES DU BATIMENT.
La préparation et passage de l’ensemble des certifications obligatoires auprès d’un organisme de certification indépendant
Formation conforme à la réglementation en vigueur
L’ensemble de l’équipe pédagogique d’Irilus est issu du métier de diagnostiqueur, (responsable, formateurs, tuteurs, assistante) nous connaissons la réalité du terrain, aussi, nos formations ont une approche pédagogique adaptée aux besoins et exigences du métier.
Notre plateforme pédagogique est accessible depuis tout support : smartphone, tablette, PC ou Mac. Pour un confort d’apprentissage, une taille d’écran de 14 pouces est recommandée. Les Documents sont téléchargeable.
Accès à notre plateforme d’assistance en ligne pour échange avec le formateur référent.
QCM de 100 questions par domaines de formations:
DPE, Amiante, Plomb, Gaz, Electricité, Termites
La réussite au QCM sur la base de 12/20.
QCM de 20 questions par domaines de formations:
Mesurage « loi Carrez » et notion de base du bâtiment
La réussite au QCM sur la base de 12/20.
Selon votre handicap et votre projet, nous pouvons étudier la possibilité de mettre en place une solution adaptée.
Merci de prendre contact avec nous par le moyen qui est le plus confortable pour vous.
Mail : contact@irilus-formation.fr
Appel téléphonique : 04 28 04 07 54
SMS : 07 64 07 81 14
Nous reviendrons vers vous rapidement
• Le référent handicap Anne LECOMTE
Son rôle est de :
• Faire le lien entre les différents acteurs qui composent l’organisme de formation mais aussi avec l’extérieur.
• Permettre un accueil de qualité pour la personne handicapée en amont de l’accès à la formation
• Veiller à l’adaptation du parcours de formation à la situation de handicap
• Assurer la coordination avec les partenaires et les acteurs externes
Lorsque le candidat a pris contact avec notre centre de formation, il est invité à un entretien (adapté à son handicap) afin de mesurer l’adéquation entre le métier de diagnostiqueur immobilier et son handicap.
Si le handicap est mentionné, il lui est demandé l’identification de son référent de parcours, des mesures ou prestations suivies autour du projet professionnel et du handicap, éventuellement des bilans de prestations et en permet la communication. Dans le cas contraire, IRILUS prend contact avec son référent de parcours.
• si elle a en sa possession des bilans de prestations et si elle accepte de nous les communiquer, et/ou on prend contact avec le référent de parcours.
Les formations dispensées par IRILUS portent sur le métier de diagnostiqueur immobilier, métier technique et qui suppose beaucoup de déplacements et portage de matériels.
En cas de déficience visuelle, maladie invalidante, déficience motrice grave, la personne référente handicap poursuit le questionnement d’une éventuelle structure intervenant en soutien de ses démarches à la recherche d’un référent, qui a pu accompagner la personne dans son parcours vers l’emploi, en prenant en compte la dimension handicap.
Il peut s’agir de :
• Maison des personnes handicapées
• Centres de bilan
• Organismes de formation de droit commun ou spécialisés comme les Centres de Rééducation Professionnelle (CRP),
• Cap emploi
• Centre d’Information et d’Orientation (CIO),
• Conseil en Evolution Professionnelle,
• AGEFIPH
En fonction du questionnement et/ou entretien avec le référent de parcours IRILUS procède selon les cas, à des aménagements de parcours :
• Un accueil à temps partiel ou discontinu
• Une durée adaptée de formation
• Des adaptations des méthodes et des supports pédagogiques
• L’aménagement des règles générales de l’évaluation des connaissances et des compétences acquises au cours de la formation
Notion de base du bâtiment et du diagnostic + Amiante + DPE + Gaz + Electricité + Plomb + Termites + Mesurage « loi carrez »
Notion de base du bâtiment:
− Introduction aux pathologies du bâtiment
− Les fondations
− Le gros œuvre
− La charpente
− Les toitures et la couverture
− Les revêtements de façade
− Les menuiseries extérieures
− Les pathologies des structures
− Les pathologies de l’enveloppe Les revêtements de sols
− Qualité de l’air
− Ventilation
− Second œuvre
Amiante :
Les différentes structures, les principaux systèmes constructifs, Le matériau amiante, et notamment ses propriétés physico-chimiques Les risques sanitaires liés à une exposition aux fibres d’amiante ; Les différents matériaux susceptibles de contenir de l’amiante ;
L’historique des techniques d’utilisation de l’amiante et conditions d’emploi des matériaux et produits ayant contenu de l’amiante jusqu’à leur interdiction ; Les dispositifs législatifs et réglementaire relatifs à l’interdiction d’utilisation de l’amiante, à la protection de la population contre les risques liés à une exposition à l’amiante dans les immeubles bâtis.
La protection des travailleurs contre les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante et à l’élimination des déchets contenant de l’amiante. Le rôle, les obligations et les responsabilités des différents intervenants ;
Les normes et les méthodes de repérage, d’évaluation de l’état de conservation et de mesure d’empoussièrement dans l’air et d’examen visuel ; Les règlements de sécurité contre les risques d’incendie et de panique, notamment dans les établissements recevant du public, les immeubles collectifs d’habitation et les immeubles de grandes hauteurs ; Les normes et les méthodes de repérages devant satisfaire à la mise en œuvre des obligations visées à l’article R. 1334-22 du code de la santé publique ainsi que des examens visuels visés à l’article R. 1334-29-3 du même code; les caractéristiques des réglementations techniques des immeubles de grande hauteur, des établissements recevant du public de catégorie 1 à 4, des immeubles de travail hébergeant plus de 300 salariés et des bâtiments industriels qui impactent la réalisation des missions relevant de la portée de la certification avec mention.
Les techniques de désamiantage, de confinement et des travaux sous confinement.
Maîtriser les modalités de réalisation des missions de repérage des matériaux et produits contenant de l’amiante et d’examen visuel ; Maîtriser les méthodes d’évaluation de l’état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante ; Maîtriser les protocoles d’intervention lors du repérage, faire une analyse de risque lié à l’exercice de son activité, élaborer un rapport détaillé, élaborer des croquis ou des plans avec indication du type de vue (plan, élévation), formuler et rédiger des conclusions.
Fixer le nombre de sondages et effectuer un prélèvement (technique, quantité conditionnement, traçabilité, maîtrise du risque de contamination) ;
Les normes et les méthodes de repérages ; La mise en œuvre des obligations visées à l’article R.1334-22 du code de la santé publique ainsi que des examens visuels visés à l’article R.1334-29-3 du même code.
Traitement de l’amiante dans les immeubles bâtis ; Examen visuel des surfaces traitées après travaux de retrait de matériaux et produits contenant de l’amiante Mission et méthodologie, repérage des matériaux et produits contenant de l’amiante dans les immeubles bâtis
Listes : A et B
DPE :
Les généralités sur le bâtiment : La typologie des constructions, les bâtiments, les produits de construction, les principaux systèmes constructifs, les techniques constructives, notamment les différents types de murs, de toiture, de menuiseries, de planchers, de plafonds, leur évolution historique et leurs caractéristiques locales ; Les spécificités des bâtiments construits avant 1948, notamment en termes de conception architecturale et de caractéristiques hygrothermiques des matériaux.
La thermique du bâtiment : La thermique des bâtiments, notamment les notions de thermique d’hiver et d’été, de prévention et de traitement des désordres thermiques ou hygrométriques sur les bâtiments ;Les grandeurs physiques thermiques, notamment la température, les degrés jours unifiés, la puissance, les énergies primaire et secondaire, le flux thermique, la résistance thermique, la conductivité thermique, la capacité calorifique, l’inertie thermique, les pouvoirs calorifiques supérieur et inférieur, la notion d’émission de gaz à effet de serre ;Les différents modes de transfert thermique : conduction, convection (naturelle et forcée), rayonnement ;Les principes des calculs de déperditions par les parois, par renouvellement d’air ;Les principes de calcul d’une méthode réglementaire ainsi que les différences pouvant apparaître entre les consommations estimées et les consommations réelles compte tenu notamment de la présence de scenarii conventionnels ;Les sources de différence entre les consommations conventionnelles et mesurées.
L’enveloppe du bâtiment :Les matériaux de construction, leurs propriétés thermiques et patrimoniales, notamment pour des matériaux locaux ou présentant un faible impact environnemental et leur évolution historique ;Les défauts d’étanchéité à l’air et de mise en œuvre des isolants ainsi que les sources d’infiltrations d’air parasites ; Les possibilités d’amélioration énergétique et de réhabilitation thermique de l’enveloppe du bâtiment et leurs impacts potentiels, notamment sur les besoins en énergie du bâtiment, ses émissions de gaz à effet de serre et sur les changements hygrothermiques des ambiances du bâtiment.
Les systèmes : Les réseaux de chaleur, les équipements techniques, notamment les principaux équipements individuels de chauffage, de climatisation et de production d’eau chaude sanitaire utilisant différentes sources d’énergie ; Les principaux équipements de ventilation : simple et double flux ; Les principaux équipements individuels utilisés pour contrôler le climat intérieur Les défauts de mise en œuvre des installations et les besoins de maintenance ; Les technologies innovantes ; Les notions de rendement des installations de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire ; La mise en place d’énergies renouvelables ;Les possibilités d’amélioration énergétique et de réhabilitation thermique des systèmes et leurs impacts potentiels, notamment sur les besoins en énergie du bâtiment, ses émissions de gaz à effet de serre et sur les changements hygrothermiques des ambiances du bâtiment. Les différents systèmes de chauffage, de refroidissement, de production d’eau chaude sanitaire, de ventilation et d’éclairages dans les bâtiments à usage principal autre que d’habitation et les parties communes des immeubles ;les chaufferies : fonctionnement, sécurité, performances ;les auxiliaires des différents systèmes ;les notions de prévention des risques liés aux légionnelles ;l’équilibrage des réseaux de distribution ;les principaux équipements collectifs de chauffage, de climatisation, de production d’eau chaude sanitaire, de ventilation et ceux utilisés pour contrôler le climat intérieur ;les possibilités d’amélioration énergétique et de réhabilitation thermique des systèmes des bâtiments ;les notions de conditionnement d’air et de distributions hydraulique et aéraulique ;les centrales de traitement d’air : mélange, filtration, humidification, chauffage, refroidissement, déshumidification, etc.
Les textes réglementaires :Les textes législatifs et réglementaires sur le sujet, notamment les différentes méthodes d’élaboration des diagnostics, la liste des logiciels arrêtée et pouvant être utilisés ;Les notions juridiques de la propriété dans les bâtiments et les relations légales ou contractuelles entre les propriétaires du bâtiment, les propriétaires des locaux à usage privatif, les occupants, les exploitants et les distributeurs d’énergie ;La terminologie technique et juridique du bâtiment, en rapport avec l’ensemble des domaines de connaissance mentionnés ci-dessus. ».
Gaz :
Quels types de gaz dans les habitations :
Gaz naturel. Sa distribution. Gaz citerne. Stockage en réservoirs fixes. Les réservoirs GPL. Gaz bouteille. Les installations gaz en bouteilles.
Installation butane et propane
Les risques liés à l’utilisation du gaz : Qu’est-ce qu’un gaz combustible. Comment ce produit la
combustion. Les risques d’une mauvaise combustion
Le monoxyde de carbone :
Définition, Pourquoi est-il dangereux ?
Quelques exemples d’intoxication et remèdes, monoxyde de carbone dans le corps. D’où vient le CO ? Effet du CO sur l’être humain en fonction de la durée d’exposition
Type d’appareil utilisant le gaz dans les logements :
Appareil étanche. Appareil raccordé. Appareil non raccordé. Les installations spécifiques (VMC gaz…) L’évacuation des gaz brulés Constitution d’une installation intérieure gaz
Tuyauterie fixe :
Acier, cuivre, plomb, polyéthylène.
Les organes de coupure, Les détendeurs, Les compteurs
L’alimentation en gaz des appareils (ou raccordement en gaz des appareils)
Rigide. Flexible. Souple.
Les appareils : cuisson, chauffage, chauffe-eau
Aménagement des locaux : Volume, ouvrant, aérations
Les protections : Goulotte, Fourreau
Les sécurités : La sécurité de flamme, Le SPOTT, La DSC
Le contexte réglementaire: L’arrêté du 02/08/1977, DTU 61.1, Code de la construction et de l’habitation
La Norme NF P 45-500; Domaine d’application
Termes et définitions Point de contrôle Rédaction d’un contrat de mission Rédaction d’un diagnostic gaz ; Cadre descriptif,
Présentation du document conformément à la réglementation
Méthodologie de réalisation d’un diagnostic :
Les différentes étapes du diagnostic, Identification des points clés à vérifier
Electricité:
Les lois générales de l’électricité :
tension, intensité, courant continu, courant alternatif, résistance, puissance, effets du courant électrique sur le corps humain ;
Les règles fondamentales destinées à assurer la sécurité des personnes contre les dangers et dommages pouvant résulter de l’utilisation normale d’une installation électrique à basse tension : Protection contre les chocs électriques et les surintensités, coupure d’urgence, commande et sectionnement, choix du matériel en fonction des conditions d’environnement et de fonctionnement ;
Les méthodes d’essais : Au moyen d’appareils de mesures et d’essais appropriés, de s’assurer de l’efficacité de la mise en œuvre des règles fondamentales de sécurité : Mesure de la valeur de la résistance de la prise de terre, mesure de la résistance de continuité des conducteurs de protection et d’équipotentialité, mesure du seuil de déclenchement des dispositifs différentiels ;
La technologie des matériels électriques constituant une installation intérieure d’électricité : fusibles, disjoncteurs, fonctions différentielles, interrupteurs, prises de courant, canalisations ;
Les règles relatives à la sécurité ; Propre de l’opérateur et des personnes tierces lors du diagnostic : Maîtriser et mettre en œuvre des prescriptions de sécurité à respecter pour éviter les dangers dus à l’électricité dans l’exécution du diagnostic ;
Maîtriser les méthodes de diagnostic des installations intérieures d’électricité.
Être capable de mettre en œuvre une méthodologie de réalisation des états de l’installation intérieure d’électricité et d’utiliser les outils dédiés à l’activité ;
- Domaine d’application
- Termes et définitions
- Point de contrôle
Plomb:
L’historique et l’utilisation du plomb et de ses composés dans les bâtiments d’habitation, des techniques d’utilisation du plomb, et notamment dans les peintures.
L’historique de la réglementation de l’utilisation et de l’interdiction de certains des composés du plomb dans les peintures.
Les composés du matériau plomb contenu dans les peintures :
Formes chimiques sous lesquelles le plomb a été utilisé ; propriétés physico-chimiques du plomb et de ses composés ; distinction entre plomb total et plomb acido-soluble.
Le risque sanitaire lié à une exposition au plomb : connaissance des situations et compréhension des mécanismes permettant l’exposition des personnes au plomb dans l’habitation, et notamment des enfants ;
Conséquences sur la santé de l’exposition au plomb.
Les dispositifs législatifs et réglementaires actuels relatifs à la protection de la population contre les risques liés à une exposition au plomb dans les immeubles bâtis, à la protection des travailleurs et à l’élimination des déchets contenant du plomb.
Le rôle, les obligations et les responsabilités des différents intervenants dans la prévention des risques liés au plomb dans les bâtiments d’habitation.
Les normes et les méthodes de repérage
Evaluation de l’état de conservation, de mesure d’empoussièrement au sol et d’examen visuel.
L’identification et la caractérisation des critères de dégradation du bâti, qui font partie intégrante de l’établissement d’un constat de risque d’exposition au plomb.
Termites:
Les insectes à larves xylophages Capricornes des maisons ; Hespérophanes ; Vrillettes ; Lyctus,
Les champignons Pourriture cubique ; Pourriture fibreuse ; Pourriture molle ; Discoloration ; Apports théoriques et reconnaissances des dégâts,
Les insectes xylophages Les termites souterrains. Les termites de bois sec. Biologie. Reproduction,
Propagation Reconnaissance des traces et des dégradations. Photothèque,
Formation et structure des bois ; Composition chimique ; Croissance ; Bio détérioration ; Les feuillus
Les résineux ; Les bois exotiques,
Le bois dans la construction Systèmes constructifs utilisant le bois Caractéristiques mécaniques Mise
en œuvre Défauts Rôle de l’humidité,
Les traitements Préventifs Curatifs ; Des bois ; Des sols,
Cadre réglementaire Loi Décret ; Arrêté ; Norme,
Rédaction d’un contrat de mission ; Cadre descriptif ; Présentation d’un document type,
Rédaction d’un état termites ; Cadre descriptif ; Présentation du document conformément à la réglementation,
Conduite d’un diagnostic ; Méthodologie ; Mise en situation ; Outillage et équipements nécessaires au bon déroulement de la mission ; Reconnaissances des dégradations biologiques du bois ; Maitriser le diagnostic en visualisant et comprenant les différents types de pathologies les termites, les insectes à larves xylophage et les champignons.
Mesurage » loi carrez »
C’est avec la loi Carrez qu’apparaissent les diagnostics immobiliers. En 1996, cette loi impose que tous les actes relatifs à la
vente d’un bien situé en copropriété mentionnent la superficie calculée selon des modalités encadrées par le texte. Le
diagnostic loi Carrez devient ainsi le premier des diagnostics immobiliers obligatoires. Son objectif ? Permettre à
l’acquéreur d’un ou de plusieurs lots de copropriété de savoir exactement la surface qui lui appartient et donc éviter
d’éventuels conflits.
Présentation de la Loi, commentaires. Sanctions, risques pour le vendeur et l’acheteur :
− Différentes notions de surface dans le bâtiment :
− SHOB, SHON
− Surface utile, surface habitable, Loi Boutin et superficie
− Quel type de surface retenir
Cas pratiques :
− Rappel : calcul des surfaces basiques
− Techniques de calcul pour des cas complexes
Mise en application : Exercices pratiques corrigés
Le mesurage loi Carrez apporte principalement une règle commune permettant de déterminer la superficie d’un bien
acquis en copropriété. A partir de 1996, des règles de mesure communes s’appliquent à tout local en clos couvert d’une
hauteur minimale d’1 m 80. En d’autres termes, en mesurage loi Carrez, on ne prend en compte que les surfaces dont la
hauteur est supérieure à cette limite. On exclut les balcons, terrasses, épaisseurs de murs, embrasures des portes et des
fenêtres, caves, etc. Grâce à cette règle commune, il devient possible de comparer des biens entre eux, et de mieux évaluer leur prix de vente.
Sur tous les domaines
Rédaction de rapports. Mise en situation pour vérifier si le candidat est capable d’élaborer le diagnostic de performance énergétique en utilisant une méthodologie adaptée aux cas traités, à en interpréter les résultats et à les restituer à un non-spécialiste
Avis
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